Car si certaines pertes de cheveux sont provoquées par une grande période de stress, un changement de saison ou une carence alimentaire, une grande partie des cas de calvities est liée à une perturbation hormonale. Et réguler l’équilibre hormonal pour stabiliser et améliorer la santé capillaire, c’est possible !
- L'équipe Krynéo vous conseille la cure Intense REPAIR
Explications et conseils.
Les hormones, l’une des causes principales de la perte des cheveux
97 % des pertes de cheveux chez l’homme sont d’origine androgénique, c’est-à-dire liées aux hormones telles que la testostérone. Et les femmes ne sont pas en reste : les études montrent que 15 à 20 % de leurs chutes capillaires sont aussi provoquées par un dérèglement hormonal.
Il existe en réalité deux types d’hormones qui influencent le cheveu :
- Les œstrogènes (hormones femelles, dont la progestérone), qui participent à la croissance du cheveu en prolongeant la phase anagène.
- Les androgènes (hormones mâles, dont la testostérone), qui peuvent dans certains cas accélérer le cycle de vie du cheveu et provoquer leur chute prématurée.
Pour conserver un bon cycle de vie pour le cheveu, il faut maintenir un équilibre entre les œstrogènes et les androgènes. Mais cet équilibre est fragile et le moindre changement ou bouleversement hormonal peut tout faire basculer.
Les hormones mâles et femelles sont présentes tant chez la femme que chez l’homme, mais dans des proportions différentes.
Les femmes ayant beaucoup plus d’œstrogènes que les hommes (qui favorisent la croissance du cheveu), elles sont moins touchées par les calvities androgéniques. Elles subissent par contre de nombreuses perturbations hormonales au cours de leur vie et sont donc confrontées, elles aussi, à la perte de cheveux d’origine hormonale.
Quelles perturbations hormonales peuvent provoquer une perte de cheveux chez l’homme et la femme ?
Chez l’homme, c’est la testostérone qui peut poser quelques soucis capillaires tout au long de sa vie. Les premiers effets de cette alopécie androgénique se manifestent vers 20 ans avec un dégarnissement localisé au niveau des golfes temporaux. C’est ensuite le dessus de la tête en partant de l’arrière qui devient de plus en plus clairsemé.
Si aucun traitement n’est mis en place, le cheveu disparait progressivement, de manière diffuse et définitive.
Chez la femme, trois moments clés d’un point de vue hormonal engendrent des pertes de cheveux : la menstruation, la grossesse et la ménopause. C’est généralement le dessus de la tête qui est le plus touché avec un élargissement de la raie centrale. Les cheveux deviennent plus fins au niveau des tempes et au pourtour des oreilles et le sommet du crâne devient clairsemé.
La perte de cheveux androgénique chez l’homme
« J’ai commencé à perdre mes cheveux vers 18 ans et cela a beaucoup joué sur ma confiance en moi. J’ai 26 ans aujourd’hui et c’est toujours difficile à vivre. Les gens se moquent et ne comprennent pas que c’est un vrai complexe. Selon mon médecin (spécialiste en micronutrition), j’ai le même taux de testostérone qu’un homme de 80 ans et ce serait dû, tout comme ma calvitie, à un dérèglement hormonal.»
(Gabriel B. — Menuisier – Liège)
En cause : la trop grande transformation de la testostérone en dihydrotestostérone (DHT). Captée par le cuir chevelu, la testostérone y est transformée en DHT.
Le souci : la DHT s’attaque au follicule pileux et engendre un vieillissement prématuré du cheveu. Petit à petit, le cycle de vie des cheveux est accéléré et ils deviennent fins et fragiles, jusqu’à ne plus pousser du tout.
Nos conseils :
Beaucoup pensent ne rien pouvoir faire pour lutter contre cette chute capillaire, mais il existe pourtant des solutions. La clé : réagir rapidement !
Renforcer vos cheveux, freiner leur chute et booster leur repousse : c’est possible, mais cela passe généralement par l’alimentation. Consultez votre médecin pour faire un bilan sanguin et définir un traitement adéquat.
Repartez ensuite d’une bonne base en optant pour une supplémentation en vitamines, minéraux et oligo-éléments dont vos cheveux ont besoin pour être en pleine santé, du cuir chevelu jusqu’aux pointes.
Les cures Krynéo Intense Repair ont été formulées spécifiquement pour répondre aux besoins des hommes. C’est Salva, notre expert en micronutrition et co-fondateur de Krynéo, lui-même souffrant d’une calvitie androgénique, qui a associé les 23 ingrédients naturels les plus importants pour la fibre capillaire afin d’apporter force, vitalité et éclat aux cheveux et freiner leur chute.
La perte de cheveux d’origine hormonale chez la femme
Les menstruations
Le cycle menstruel chez la femme est à l’image d’une montagne russe pour les hormones :
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En période d’ovulation, c’est-à-dire au milieu du cycle, tout va bien : la femme se sent pleine d’énergie, elle est concentrée, sa peau est lisse et ses cheveux sont doux et brillants. Grâce aux œstrogènes qui sont à leur plus haut taux, les cheveux poussent plus vite.
- Une fois l’ovulation passée, quelques jours avant le début des règles, cela se complique: le taux d’œstrogène chute, la peau et les cheveux ont tendance à graisser et l’énergie redescend.
- Durant les quelques jours de menstruations, l’œstrogène est au plus bas et le corps est sous l’effet prépondérant des hormones mâles. Les cheveux sont alors fragiles, secs et cassants. Ils tombent plus vite et il est courant pour une femme de retrouver bien plus de cheveux qu’à l’accoutumée sur sa brosse, son coussin ou ses vêtements.
Nos conseils :
En cas de perte de cheveux excessive, n’hésitez pas à consulter votre médecin ou votre gynécologue. Vérifiez également avec eux que votre moyen de contraception — si vous en avez un — soit bien adapté et qu’il n’accentue pas ce déséquilibre hormonal.
Pendant la période de règles, prenez particulièrement soin de vos cheveux, notamment en faisant des masques, en prenant des compléments alimentaires naturels et en évitant les agressions (chaleur lors du séchage, colorations, tabac, etc.).
La grossesse
« Je suis la maman d’un adorable petit bout de 3 mois, et c’est la période la plus heureuse de ma vie. Seule ombre au tableau : je perds énormément mes cheveux depuis l’accouchement. J’ai essayé de nombreux soins, mais rien ne fonctionne. Se réapproprier son corps et se sentir à nouveau bien dans sa peau est déjà si compliqué après une grossesse… Cette perte de cheveux me mine le moral et j’aimerais retrouver des cheveux en pleine santé, comme avant. »
(Marie-Agnès F. — Comptable – Lyon)
Si la femme est sous une influence hormonale positive durant la grossesse avec une peau magnifiée et des cheveux plus épais, brillants et fortifiés, la situation est toute autre après l’accouchement ou en cas de fausse couche. Les déséquilibres hormonaux subis par le corps post-partum, notamment la chute de production d’œstrogènes et de progestérones, engendrent en effet leur lot de conséquences, dont la perte de cheveux.
Un tiers des femmes subit une chute capillaire massive entre deux et quatre mois après l’accouchement, ou plus tard en cas d’allaitement. Ce phénomène s’appelle « l’effluvium télogène du post-partum » et est généralement difficile à supporter moralement pour les mamans qui sont déjà dans une période bouleversante, épuisante et riche en émotions.
Nos conseils :
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Rééquilibrez vos hormones pour retrouver des cheveux sains. Tout comme il est conseillé de prendre des compléments alimentaires avant et pendant la grossesse pour soutenir la croissance et le développement du fœtus (fer, vitamine C et vitamine B9, oméga-3…), il est aussi important de se supplémenter après l’accouchement pour aider le corps à récupérer.
Le houblon, la luzerne, les graines de lin et de sauge sont connus pour être des équilibreurs hormonaux et préconisés pour remédier à la chute d’œstrogènes liée à l’accouchement. Les vitamines du groupe B sont également cruciales car elles sont surutilisées durant la grossesse, entraînant souvent des carences.
Avec des ingrédients naturels, la cure Intense Repair de Krynéo dépasse 100 % des Apports Journaliers Recommandés (AJR) pour combler les carences et répondre aux besoins spécifiques de la femme après une grossesse.
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Même si cette période de grand changement et d’adaptation n’est pas toujours propice à la détente, essayez de vous reposer autant que possible et de prendre soin de vous (corps et esprit). Le stress et la fatigue peuvent en effet accentuer la chute de cheveux.
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Si l’alopécie post-partum perdure, consultez votre médecin.
La ménopause
« Dès les premiers signes de la ménopause, j’ai commencé à perdre mes cheveux. Mon coiffeur a aussi constaté qu’ils avaient changé de texture, ils sont plus fins et fragiles. Il m’a confirmé le rôle des hormones dans ce problème. Je ne sais pas quoi faire pour retrouver des cheveux en pleine santé. »
(Lucie B. — Infirmière – Rennes)
Avec la ménopause, la femme perd 80% de ses oestrogènes alors que son niveau d'androgènes ne baisse que de 10 à 30%. Bouffées de chaleur, maux de tête, troubles du sommeil, anxiété... Ce déséquilibre hormonal amène un lot de symptômes qui rivalisent en termes d'inconfort.
Et du côté de la santé capillaire, là aussi, les dégâts sont importants ! Puisque les oestrogènes ne sont plus assez puissants et nombreux pour contrebalancer les effets néfastes de la DHT sur la fibre capillaire, les cheveux sont affaiblis, cassants, plus fins et secs et poussent moins vite, ou plus du tout. Certaines femmes perdent jusqu'à 2/3 de leur chevelure et beaucoup constatent aussi un affinement du cheveu. Cette chute capillaire peut démarrer dès 4 à 5 ans avant la ménopause, lors de la pré-ménopause.
Les cures Krynéo Intense Repair ont été formulées spécifiquement pour répondre aux besoins des femmes. C’est Salva, notre expert en micronutrition et co-fondateur de Krynéo, lui-même souffrant d’une calvitie androgénique, qui a associé les 23 ingrédients naturels les plus importants pour la fibre capillaire afin d’apporter force, vitalité et éclat aux cheveux et freiner leur chute.
Comment retrouver des cheveux en pleine santé ?
Le stress, la fatigue, l’anxiété et les mauvaises habitudes du quotidien (trop peu de sport, pas assez de sommeil, du tabac et une consommation élevée d’alcool…) sont autant de facteurs qui s’ajoutent aux effets des androgènes et qui accélèrent la perte de cheveux. Des habitudes à surveiller et à maîtriser, donc !
Et puisque la santé du cheveu repose sur l’absorption dans l’alimentation de certains nutriments qui aident à construire la fibre capillaire, il est essentiel d’adopter une alimentation variée et équilibrée. Combler vos besoins journaliers devrait être le premier réflexe à prendre pour optimiser votre santé capillaire à court et long terme.
Attention : la perte de cheveux est généralement synonyme de carences. Dans le cas où vous perdez déjà vos cheveux, seul un traitement complémentaire de qualité et bien dosé pourra combler vos carences pour repartir sur de bonnes bases santé.
Découvrez ici les vitamines et minéraux essentiels à la santé capillaire des hommes et des femmes.
Encore plus de conseils pour prendre soin de vos cheveux
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Masser votre cuir chevelu quelques minutes par jour avec le bout des doigts pour stimuler la circulation sanguine.
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Utilisez des shampoings de qualité, sans silicone et adaptés à la nature de vos cheveux.
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Évitez ou limitez la consommation de tabac, d’alcool, de produits transformés et de sucre raffiné.
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Choisissez une brosse à cheveux avec des picots souples.
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Évitez ce qui agresse et fragilise la fibre capillaire : colorations, produits coiffants, forte chaleur lors du séchage, port trop régulier d’un casque, d’un chapeau ou d’un bonnet, etc.
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Adoptez une alimentation saine, équilibrée et colorée, riche en vitamines, minéraux et oligo-éléments.